Jadis, sous des températures plus clémentes, je m’étais perdu en ces lieux chargés d’histoire pour courir le guilledou et ripailler goulûment.
Bien des années plus tard, c’est sur mon cheval de feu, traversant des endroits tombés en quenouille que j’ai fait halte en de nombreuses bourgades.
Pensez donc, vous foulez les pas de Charles de Batz de Castelmore, dit d’Artagnan, pas une mince affaire. Imaginez vous, plongé dans l’œuvre d’Alexandre Dumas, retour vers le passé. Vous découvrez, vos sens sont en éveil et vous écrivez votre histoire, celle qui vous anime et qui inscrira dans votre mémoire les souvenirs de demain.
Dans notre environnement où le législateur et autres têtes pensantes ne cessent de phosphorer sur ce qui est bon, où le goût pour l’appétence à tout vouloir cadrer et protéger est devenu la norme et où le principe de précaution n’est jamais très loin, et bien, vous avez compris, nous entrons dans une autre dimension qui restreint le champ des possibles. Le mal français?
La Royal Enfield 500 bullet, c’est la moto tranquille par excellence. Mieux, croiser sur nos départementales aux vitesses autorisées donne la banane sous le casque et cela c’est carrément incroyable, si si.